Oui, pour la peine, c’est bien le bon terme.
Stéphanie… oh…
Pendant ce temps, de l’autre côté de l’océan…
-Mais où est cet imbécile de merde!
-Parti en vacances, chef.
-Je vais lui en donner, moi, des vacances, la prochaine fois qu’un attentat nous tombe dessus!
-Mais, chef, il était déjà parti quand la...
-Ne me prends pas pour un imbécile! Chaque fois qu’il part, on a un attentat sur les bras! Fini les vacances pour cette merde d’imbécile! Trouve-le-moi!
-Mais chef, c’est que…
-Basta! Trouve-le-moi au PC!
-En fait, je m’appelle Bastien, chef.
-Mais d’où tu sors toi? T’es qui?
-Votre nouveau supérieur, chef.
-Je vois.
Pendant ce temps, de l’autre côté de l’océan…
4 commentaires:
est-ce que c'est moi où c'est difficile de comprendre ce qui se passe ?
À moins que je me trompe, on était en arrêt à Istanbul, en direction de Madrid. Est-ce qu'on fait une halte à Monaco ?
À moins qu'il y a une «toune cachée» dans ce texte là aussi...
Sérieusement, on aurait du prendre l'avion... Ou le bateau. Ah oui, le bateau, je me ferais bien ce voyage en bateau !
Merci pour l'éclaircissement !
«Si au moins on s'arrêtait pour la peine à Monaco.
Oui, pour la peine, c’est bien le bon terme.
Stéphanie… oh… Stéph...»
Pour moi, tout est limpide.
Si au moins on s'arrêtait. Donc on n'y est pas encore. Donc, Monsieur le narrateur peut toujours se dire, vaudrait mieux arrêter à Monaco.
Après tout, il est perdu dans ses pensées dans une toilette d'Istanbul (ou Constantinople...).
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