Dire que je croyais avoir pris des vacances… je constate que Gouziev n’était pas assez loin. Je vais au moins me faire rembourser mes frais de voyage.
Pourquoi ça m’arrive tout le temps ce genre de truc? Je prends congé et hop! Me voilà plongé dans une mission que je n’avais même pas imaginée et dont les chefs croient que je suis l’initiateur. J’aurais dû faire plombier, tiens, comme mon grand-père le souhaitait encore sur son lit de mort. Il n’avait jamais réussi à réparer ce robinet.
Encore chanceux avec cette histoire. Ça ne battra pas la fois où j’avais dû m’infiltrer dans les hautes sphères de la gastronomie japonaise après que chef George m’eut confondu avec un dealer de riz. Ces 19 mois à passer pour un maître sushi-man avaient été des plus délicats. Si au moins je n’avais pas été allergique au poisson...
En réalité, la présente mission n’est pas ce que j’appellerais jouer à l’agent-double, puisque Madrid est ma ville natale et que Herr Sharpy-Forzessel est mon ex-beau-père. Mais qui s’en soucis? Le fait demeure : je me sens trahi et traître à
-Señor Gautier?
6 commentaires:
Attention Daniel, il y a un mot en espagnol aujourd'hui...
Ne le dites pas, ne le dites pas, je vais le trouver...
J'y suis presque...
Sushi?
il me semble qu'il y a quand même 250 mots de trop... >:->
oups, je me suis relu et c'est trop salaud... je déconne totallement, miss copyright mel...
Ha!Ha!
À qui la suite?
À qui?
À qui?
À qui la suite japonaisoticorrespagnolia??
hehe
Soyez sages ou j'appelle la police.
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